Confinement ou pas confinement, les liaisons se poursuivent, évidemment. Les amants continuent à s’écrire, se séduire, s’exciter, se voir et s’aimer, s’aimer, s’aimer… Faire l’amour, plus que jamais…
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Je pique un livre dans la bibliothèque de X. et je deviens addict : les Impudiques, de Philippe Adam.
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[…] tu ne veux pas être prise au piège de l’engagement ? Je ne souhaite aucun carcan, aucun engagement. Restons libres : libres penseurs, libres épicuriens, libres amants, libres adeptes de la luxure, des plaisirs du sexe, des outrances, soyons de libres adeptes de Rabelais aux temps modernes.
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« Tous ces paquets, ces tonnes de chair humaine qu’on nous a jeté à la figure ces temps-ci, bronzés, pâles, debout, assis, couchés, quel ennui ! Le corps, son plaisir est devenu, lui aussi, un bien de consommation. Qu’ont-ils fait de la folie de la nuit, des mots chuchotés dans le noir, du « secret », cet énorme secret de l’amour physique ? »
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« Si tu veux te connaître, accepte de tomber dans tes démons, pactise avec eux et jouis ; c’est par eux que nous devenons des hommes vastes et singuliers, vrais… »
Les démons, oui, la danse des forces obscures, la luxure… -
[…] Ces désirs dont vous me parlez si bien, dans votre dernière lettre, et qui – dois-je le préciser ? – sont de la même famille que les miens […]
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Suite de l’article « C’était (seulement) il y a 25 ans »
En ces temps de confinement,
Un flash-back 25 ans en arrière,
à propos du « virus de la vie fragile et de l’amour contagieux »
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En ces temps de confinement,
Un flash-back 25 ans en arrière,
à propos du « virus de la vie fragile et de l’amour contagieux »
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Je t’aime avec toute cette envie de toi, sauvage et violente, tout le vertige de ces désirs qui ne cessent de me submerger…